Depuis le très oubliable Rosco McQueen sorti en 1997 sur PlayStation et qui était plutôt enfantin, jamais nous n'avons pu avoir un expérience digne de ce nom pour représenter le plus beau des métiers : Sapeur Pompier. Dans un univers plus réaliste, Chronos Unterhaltungssoftware (quel nom compliqué pour un développeur) nous propose ici Firefighting Simulator : The Squad qui vous donnera la possibilité de profiter d'une véritable simulation ouverte à tous car accessible et jouable entre amis. Que demande le peuple ? Pas une énième simulation allemande ratée !

Depuis 2010 nous avons vu fleurir tellement de simulateurs venus de chez nos amis allemands qu'il était impossible de choisir tellement 20 rayons d'une grande surface n'auraient étés suffisant pour les accueillir. Grand phénomène sur PC, ce style s'est trouvé un public et un large succès en plus de 10 ans. C'est pourquoi, après plus de ans d'attente Firefighting Simulator : The Squad arrive enfin sur consoles avec une optimisation (relative) sur current gen. Si l'on fait abstraction de sa réalisation somme toute sommaire (le budget n'est clairement pas là), on se laisse piéger si, comme moi, vous avez vécu dans une famille ou vous ne trouviez que des pompiers. Visant presque le réalisme, s'aventurer sur des missions de plus en plus difficile s'avère être relativement jouissif, et le retour des joueurs PC durant ces deux dernières années ont étés plus que positives ! C'est pourquoi, vu son prix modeste, il pourra devenir votre meilleur ami pour un certain temps tout comme le phénomène de l'été dernier PowerWash Simulator.

Genre connu (Simulation) mais métier oublié (Pompier), cette seule alternative est une excellente surprise ! S'il garde une base très générique de par le genre et le pays dont il vient, il est vraiment suprenant de se laisser prendre au jeu. Tout seul ou entre amis, mettez à l'honneur ce si beau métier qui sauve des vies tous les jours durant de nombreuses missions palpitantes où vous vous devrez d'atteindre tous vos objectifs. Que d'autres développeurs ou éditeurs en prennent de la graine.